Who & What
Pourquoi le nom « MATRIARXXI » ?
MATRIARXXI est une appellation contemporaine et digitale, inspirée de la matriarchie, le système de société où les femmes génétiques étaient au centre. MATRIARXXI garde le « mater » qui signifie mère et « arkhê » qui signifie pouvoir avec un « XXI » qui signifie à la fois le vingt-et-unième siècle et « XX » une des possibilités parmi les vingt-trois paires de chromosomes qui font partie du patrimoine génétique humain.
source : https://genetique-medicale.fr, site édité par l’Agence de la biomédecine (ABM), agence relevant du Ministère de la santé en France (source : annuaires des agences et opérateurs du Ministère de la santé en France)
C’était au départ juste un nom de domaine (« Https://matriarxxi.com ») réservé depuis juin 2023.
L’objectif est de sensibiliser les femmes génétiques pour répondre aux paradigmes présents et futurs du monde actuel pour les rendre plus opérationnelles : par le sport dans un but de prévention des situations physiques limitantes qui touchent plus les femmes génétiques et par la maîtrise opérationnelle numérique soit un ensemble de compétences autonomes sur les nouvelles technologies afin de lutter contre l’illettrisme numérique progressif qui les concerne encore plus.
Qui est la fondatrice ?
La fondatrice, Jessica Kaela MAHJOUBI est bilingue français-anglais et a surtout 26 ans d’expériences dans l’opérationnel numérique : sécurité des paiements électroniques, monnaie digitale, prévention face aux fausses informations propagées sur les réseaux sociaux, protection de la vie privée, prévention de l’illettrisme numérique progressif, e-administration, souveraineté numérique personnelle, prévention criminalité numérique, etc… Elle est aussi fitness coach certifiée. Jessica Kaela MAHJOUBI a plusieurs origines. D’ethnie berbère par ses parents nés au Maroc (d’origines, entre autres, ashkénazes et d’Europe du Nord pour son père), juive sépharade (par sa mère qui a des origines entre autres d’Italie du Sud, du Moyen-Orient et d’Israël). Par responsabilité de mémoire de la Shoah, elle demeure vigilante face aux tendances fortement inquiétantes observées dans les sociétés actuelles : retour des idéologies extrémistes, instabilités économiques et politiques en Europe, non-respect des valeurs, mouvements fanatiques religieux, vidéos deep-fake et fake news à l’ère numérique, complexité du discernement entre vrai et faux, crime organisé en Europe, guerres hybrides numériques à l’échelle régionale comme mondiale, pauvreté menant aux pires criminalités, etc…
Avec plusieurs générations d’invasions musulmanes par l’ancien empire ottoman, elle a également en elle l’héritage des peuples celtes et viking qui ont échoué le long des côtes atlantiques nord-africaines sur plusieurs périodes de l’histoire et qui se sont mêlés aux chérifiens, qui les ont accueillis et avec lesquels ils ont survécu à travers des familles métissées entre hommes d’Europe du Nord, de Méditerranée ou de l’empire ottoman avec des familles d’Afrique du Nord. Ce qui permit à ces lignées de continuer à vivre à l’abri de la famine, des crises de régimes, des génocides et d’autres conflits divers.
Les forces d’intervention ont une histoire gravée dans l’ADN des MAHJOUBI. Son grand-père et son père parlant arabe et français collaboraient avec plusieurs armées (dont l’armée française) en tant qu’informateurs et interprètes pendant les périodes coloniale et post-coloniale.
Mounir MAHJOUBI, dont elle est la sœur aînée (elle s’appelait « Aïcha MAHJOUBI » jusqu’en 2022, et s’appelle désormais Jessica Kaela MAHJOUBI), son frère cadet ancien secrétaire d’état chargé

Extrait du quotidien français Le Parisien daté du 13/08/2018 – archive de la version papier possédée par Jessica Kaela MAHJOUBI – version web du 12/08/2018 disponible en libre-accès sur leur site : https://www.leparisien.fr/politique/voyante-et-soeur-du-secretaire-d-etat-mounir-mahjoubi-12-08-2018-7850943.php
du numérique en France, était spécialisé entre autres dans la stratégie de surveillance numérique au service des polices, des ministères de l’intérieur, des armées et des agences de renseignements du monde entier.